Habitats des abeilles indigènes
Habitats des abeilles indigènes

Ce projet conjoint avec le campus MacDonald de l’Université McGill a permis l’installation de trois habitats pour abeilles indigènes, avec le soutien du Fonds mondial pour la nature (WWF-Canada) et du Sustainability Projects Fund de l’Université McGill. Les abeilles indigènes nichent dans le sol, dans le bois mort et dans les vieilles tiges de plantes. La plupart sont des espèces solitaires, avec une reine qui fait un nid pour son couvain. Les bourdons vivent en petites colonies. Nos nids au Cégep sont des boîtes de 3 x 3 pi, dans lesquelles de la terre a été mélangée à du sable pour assurer un drainage adéquat. Des plantes indigènes ou favorables aux pollinisateurs ont été plantées pour former une haie autour des boîtes afin de fournir pollen et nectar aux abeilles. Des billots séchés percés de petits trous ont été placés autour des boîtes pour offrir des habitats supplémentaires.
Ruches sur le toit
Ruches sur le toit
Deux ruches abritant environ 30 000 abeilles sont installées sur le toit du pavillon Casgrain. Les apicultrices et apiculteurs d’Alvéole s’occupent des ruches. Elles et ils les entretiennent au printemps et en été et les isolent pour l’hiver. À l’automne, le miel est extrait et vendu afin d’amasser de l’argent pour le Fonds d’aide aux étudiant(e)s.
Jardin des pollinisateurs
Jardin des pollinisateurs

Planté au printemps 2022, le Jardin des pollinisateurs est un projet dirigé par des étudiant(e)s, avec l’appui du Fonds mondial pour la nature (WWF-Canada). Des espèces indigènes favorables aux pollinisateurs ont été plantées afin d’attirer et de nourrir les abeilles, les papillons de nuit et les oiseaux.
Parcelle où la nature sauvage reprend ses droits
Parcelle où la nature sauvage reprend ses droits

Initiative de notre département d’Arts visuels, ce projet a vu le jour lorsqu’un coin de pelouse entre les pavillons Casgrain et Penfield n’a pas été tondu pendant la pandémie. La parcelle oubliée s’est transformée en refuge pour la flore et la faune, et la « zone sauvage » a vu le jour. Aujourd’hui laissée volontairement à l’état sauvage, la parcelle est un espace où la communauté du campus peut observer les plantes à leur état naturel et apprendre de ces observations.
Projet de biodiversité sur le campus
Projet de biodiversité sur le campus

Dirigé par le Cégep Vanier, le Réseau Biodiversité au campus vise à promouvoir l’observation et la protection des espaces verts du campus. Le Cégep John Abbott fait partie des 11 établissements collégiaux qui participent à ce projet conjoint. À l’aide de l’outil iNaturalist, les étudiant(e)s, le personnel et le corps enseignant des établissements d’enseignement de Montréal et d’ailleurs sont encouragés à promouvoir les espaces verts de leurs campus et à tisser des liens avec les autres grâce à l’observation scientifique citoyenne. Cliquez ici pour en savoir plus sur le projet du Réseau Biodiversité au campus.
Mangeoire d'oiseaux
Mangeoire d'oiseaux
Quatre mangeoires ont été installées fin 2022 dans le cadre d’une subvention de l’ECQ intitulée « Campus Biodiversity Network : Nature Walk as a Pedagogical Tool ». Le projet est une collaboration dirigée par le Cégep Vanier et comprend le Cégep John Abbott, ainsi que les deux campus du Collège Champlain.
L’objectif du projet est de créer un sentier pédestre qui met en valeur la biodiversité présente sur le campus. Le sentier John Abbott comprendra 15 sites à visiter, y compris la station de nourrissage des oiseaux, et des codes QR guideront les participants à travers certaines des espèces qui sont régulièrement observées à cet endroit spécifique. Les participants seront également encouragés à enregistrer leurs observations à l’aide de iNaturalist, un réseau social de naturalistes, de citoyens scientifiques et de biologistes fondé sur le concept de la cartographie et du partage des observations de la biodiversité à travers le monde. Les élèves seront également invités à participer au projet FeederWatch, mené par Birds Canada pendant l’hiver et le printemps.
Il est intéressant de noter que la première espèce à visiter les mangeoires a été une mésange à tête noire, suivie de près par un chardonneret américain.